Mon patron m’a distrait en me couvrant le visage de son plaisir après un film d’horreur

Il était une fois, dans l’obscurité d’une soirée hantée par les ombres de l’écran, une jeune babysitter frissonnante de peur devant un film d’horreur. Les images terrifiantes se reflétaient dans ses yeux écarquillés, faisant battre son cœur à tout rompre. Soudain, la porte s’ouvrit et son patron, tel un spectre élégant, fit son apparition. Sa présence virile et rassurante la fit tressaillir, mêlant la terreur à une étrange excitation. La tension montait, palpable, électrique. Dans un geste inattendu, il l’attira à lui, plongeant son regard dans le sien, brûlant d’une passion interdite. Les frissons de peur se mêlèrent aux frissons de désir, et la jeune femme se laissa emporter par le tourbillon de sensations. Les vêtements tombèrent, libérant les corps avides de plaisir. Les soupirs se mêlèrent aux gémissements, les caresses enflammées devinrent brûlantes. Et dans un ultime élan, le patron la couvrit de son plaisir débordant, laissant sur son visage une empreinte de luxure et de satisfaction. Dans l’obscurité de la nuit, la peur laissa place à l’extase, et la jeune babysitter découvrit les délices insoupçonnés de la passion interdite.