Le jeune éphèbe perd le jeu et devient le réceptacle à sperme de la maison

Il était une fois, dans un monde où les désirs les plus sombres se mêlent aux plaisirs les plus intenses, un jeune éphèbe au visage angélique qui, par un cruel coup du destin, perdit un jeu et se retrouva au centre d’une orgie décadente. Les frères de la fraternité, animés par une luxure insatiable, firent de lui leur cumdump attitré, le soumettant à des plaisirs inavouables et des désirs inassouvis.
La scène était d’une obscénité troublante, mêlant le parfum enivrant du désir à la crudité du plaisir charnel. Le jeune éphèbe, dépassé par la débauche qui l’entourait, se laissa emporter par des vagues de sensations inconnues, mêlant douleur et extase dans un tourbillon de luxure. Les frères, tels des démons affamés, le couvrirent de caresses impudiques et de baisers brûlants, le plongeant dans un abîme de désirs inavoués.
Les heures s’écoulèrent dans un tourbillon de passion dévorante, le jeune éphèbe se laissant emporter par le plaisir interdit et la luxure débridée. Les mots crus et les gestes obscènes se mêlaient dans un ballet enivrant, révélant les désirs les plus sombres de chacun. La nuit s’étira dans une lente agonie de plaisir, le jeune éphèbe devenant le jouet consentant de la fraternité dépravée.
Au matin, dans un ultime élan de débauche, les frères célébrèrent leur victoire en couvrant le jeune éphèbe de leur semence, le marquant à jamais de leur empreinte indélébile. Il était désormais le réceptacle à sperme de la maison, condamné à revivre chaque nuit les délices et les tourments de cette orgie décadente.
Ainsi s’acheva l’histoire du jeune éphèbe, pris au piège des plaisirs interdits et des désirs inassouvis, condamné à errer pour l’éternité dans les méandres sombres de la luxure et de la dépravation.